Sophie Blackmore

Sophie est assistante de recherche et elle se concentre sur les jeunes autochtones et sur des projets de santé mentale. Elle a commencé à s'intéresser à la santé mentale autochtone et interculturelle après avoir eu l'occasion d'enseigner à des étudiants de Salluit, au Nunavik, à propos de l'éducation à la santé culturellement pertinente. Par la suite, elle a poursuivi plusieurs recherches et opportunités de travail valables, notamment en évaluant les lignes d'écoute téléphonique sur le suicide pour les communautés autochtones du Canada, en travaillant avec la clinique de dépendance à la nicotine du Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH), en menant des projets de recherche sur le risque de psychose pour les populations migrantes et en évaluant les symptômes de traumatisme dans divers sous-groupes ethniques et diagnostiques en réponse à la pandémie de COVID-19. Dans ses temps libres, Sophie aime découvrir de nouveaux restaurants et se détendre avec une bonne tasse de thé et un livre encore meilleur.

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